Cet enseignement discute la manière dont, du XVIII° au XXe siècles, la gestion de ressources renouvelables devenues rares a conduit les sociétés à débattre de la capacité des terres à nourrir les hommes, des conditions d'aménagement des forêts, et des modèles de protection puis de gestion d'une nature qui reculait sous la poussée démographique.