Cet enseignement est scindé en deux : une partie d’économie bancaire dispensée par Florence Lachet-Touya et une partie économie de l’assurance assurée par Carole Haritchabalet.

Les deux blocs s’appuient sur les outils microéconomiques pour éclairer la justification de l’existence des acteurs bancaires et assurantiels, comprendre leur rôle et les missions qui leur sont confiées, être en mesure d’analyser les grands enjeux actuels et à venir. L’asymétrie d’information constituant un élément clé de la relation établie entre ces acteurs et leurs contreparties, elle est au cœur de la démarche et de la méthodologie choisies.

L’enseignement est dispensé sous la forme de cours magistraux et de travaux dirigés au cours desquels les étudiants sont amenés à appliquer et à développer les notions et mécanismes appris d’une part, à les confronter à des questionnements actuels (concurrence, fixation de prix, régulation…).

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L'économie publique s’intéresse aux justifications et aux effets de l’intervention de l’Etat dans l’économie, à la manière dont il prend ses décisions et à celles qu’il devrait prendre. Elle cherche également à comprendre et à éclairer l’organisation de la prise de décision publique entre différentes catégories et différents niveaux de décideurs, en s’appuyant notamment sur les enseignements de la théorie du fédéralisme financier. Elle intègre également une dimension d’économie politique en questionnant la définition de choix collectifs (agrégation des préférences etc.) et examinant les différentes modalités de vote pour parvenir à une issue socialement optimale.

L’enseignement se répartit entre un cours magistral et des travaux dirigés. Il fait une large place à des problématiques d’actualité qui permettent d’illustrer les approches présentées et d’appréhender scientifiquement les enjeux sous-jacents. Des travaux de réflexion, d’analyse et de synthèse sont proposés aux étudiants.

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