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Le constat réalisé depuis de nombreuses années est que l'étudiant qui s'inscrit en géographie le fait sur des bases qui ne sont pas celles d'une science sociale mais à partir d'une part des enseignement très thématisés et souvent subis au lycée et, d'autre part, une image sociale de la discipline qui ne correspond pas à ce que l'université propose. L'objectif de cette UE est de faire découvrir la géographie en tant que discipline universitaire et en tant que science sociale à la fois aux étudiants ayant choisi la géographie, pour leur permettre de valider leur choix, et aux étudiants des sciences connexes pour leur montrer cette dimension qu'ils ne connaissent pas. Qu'est ce qui constitue un enjeu géographique ? Quels concepts propres à cette science permet de comprendre les interactions espace/société contemporaines ? Quels objets constituent des objets scientifiques pour cette discipline ? Avec quelles méthodes sont-ils abordés ? Quels outils accompagnent le chercheur ? Quelle est l'implication sociale de cette science à l'heure des grands défis écologiques auxquels nos sociétés en transition sont confrontées ? Un cours magistral pose les bases conceptuelles du programme. Des TD permettent de l'illustrer et de travailler la compétence essentielle de la synthèse documentaire.

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À la fin de cette UE, vous serez capable de : 

• Maîtriser la méthodologie de la dissertation et du commentaire de documents en géographie et aménagement
• Identifier, décrire et expliquer les grands types de politiques d'aménagement en France et à l'étranger
• Décrire et expliquer une politique publique d'aménagement
• Expliquer la portée spatiale et sociale d'une politique publique d'aménagement
• Décrire un paysage aménagé
• Maîtriser les méthodes d'analyse de documents-sources de types variés
• Se servir des exemples d'aménagement présents dans la bibliographie
• Décrire et expliquer le passage d'une politique d'aménagement nationale à une échelle locale

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Ce cours se situe à la croisée de la géographie et de la démographie. Il vise à faire connaître aux étudiants les notions de base de la géographie des populations et des formes de peuplement en intégrant à l'analyse : - une dimension temporelle (temps long) prenant en compte l'histoire de l'humanité, une dimension géographique permettant de distinguer différentes formes de peuplement, une dimension démographique sur la base d'indicateurs de mortalité, de natalité, de fécondité, d'accroissement de la population.

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Cet enseignement propose une introduction à la cartographie en présentant une réflexion sur ce qu'est une carte, la diversité des productions cartographiques et l'histoire de la cartographie. Une partie du cours est destinée à donner les bases de la lecture des cartes topographiques aux échelles 1 : 50 000 et 1 : 25 000. Le cours est complété par des séances de TD au cours desquelles les étudiants apprennent à lire des cartes topographiques et découvrent différents types de cartes issus du fonds de la cartothèque de la formation.

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• Déconstruction d’écrits géographiques (corrigé de dissertation, article universitaire...)
• Repérage de l’enchaînement/articulation des étapes d’une démonstration (composition ou articles universitaire)
• Présentation orale de la structuration d’un écrit à partir de l’introduction, la conclusion et du plan
• Amélioration de la qualité rédactionnelle d’une composition rédigée par d’autres étudiants

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Construire un raisonnement géographique dans le cadre d’un travail collaboratif (dispositif APP) avec des outils et une exigence de niveau universitaire. A l'issue de l’APP l'étudiant est capable de planifier le travail commun et personnel ; d'exploiter des ressources ciblées par l'enseignant ; de se situer dans ses apprentissages et d'auto-évaluer ses acquis ; communiquer à l’oral et à l’écrit dans un registre de langage adapté - La méthode est appliquée à un thème illustrant les grands enjeux environnementaux à l'échelle monde : exemple l'eau.

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Cours magistral

Analyse, à l’échelle de la terre, de l'origine des grands ensembles du relief et de l’organisation biogéographique (répartition des êtres vivants).

Compétences : être capable de comprendre le fonctionnement et l’organisation naturelle du « système monde », aux plans géomorphologique et biogéographique.

Travaux dirigés

Apprentissage de la lecture de cartes topographiques (applications à divers types de milieux, en mettant l’accent sur les aspects physiques).

Compétences : être capable de réaliser une analyse paysagère à partir d’une carte topographique (éléments physiques).

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Cet EC est organisé sous la forme d'un atelier qui associe un cours magistral et un TD dans le cadre d'un projet tuteuré. A partir d'une enquête par questionnaires réalisée par les étudiants, il vise à leur faire découvrir les concepts et les méthodes de la géographie des représentations.

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Cet enseignement aborde le thème des frontières politiques entre États du point de vue de la géographie : définitions, typologie, fonctions, matérialité, évolutions, effets territoriaux… permettront de comprendre la frontière comme un type particulier de discontinuité en géographie. A la fois obstacle et opportunité, la frontière sera présentée comme un objet et une notion en mutation. Des exemples de frontière pris dans plusieurs parties du monde viendront illustrer le propos. A partir d’une étude de cas, les étudiants devront documenter l’ambivalence des dynamiques frontalières, entre coupure et couture, ouverture et fermeture.

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• Le cycle de l'eau et du carbone et la circulation atmosphérique
• Les grands climats zonaux (méditerranéen, tropical, désertique, polaire)
• Les principes du changement climatique et ses déclinaisons zonales

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• Explorer les jeux de données disponibles et organiser les informations spatiales
• Utiliser les fonctionnalités du logiciel
• Sélectionner les objets géographiques, les consulter dans les tables attributaires
• Créer les objets géographiques
• Cartographier et représenter les phénomènes géographiques

• Explorer les jeux de données disponibles et organiser les informations spatiales dans le SIG
• Cartographier et représenter les phénomènes géographiques
• Intégrer et traiter des données de diverses sources
• Optimiser l'utilisation de la géomatique dans les domaines d'application de l'environnement et de l'aménagement
• Utiliser le logiciel QGis
• Utiliser les logiciels de traitements statistiques, de cartographie
• Utiliser les logiciels de bureautique

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Cet enseignement a pour objectif de familiariser l'étudiant avec la terminologie utilisée en statistiques et de lui fournir les bases de la statistique descriptive :  comment identifier les données étudiées ? comment les résumer sous forme graphique et numérique ? comment les analyser ? Le choix de données spatiales permet de travailler le champ disciplinaire et de donner ainsi un éclairage géographique aux séries statistiques étudiées. Les séances comprennent une partie de cours suivie d'applications concrètes à partir de fichiers de données statistiques. La série d'exercices aborde au fur et à mesure les principales notions de statistique descriptive et leur traitement appliqué sur logiciel informatique. Les supports de cours et d'exercices sont disponibles sur l'ENT, laissant à l'étudiant la possibilité de travailler, retravailler à sa guise les notions et exercices traités en séance.

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Cet enseignement a pour objectif de renforcer la maîtrise des compétences numériques (usage des outils numériques et bureautiques, d'internet et de travail collaboratif), indispensables à la réussite des études universitaires et à l'insertion professionnelle.

En parallèle, il prépare à la certification PIX intégrée à la formation.

Les domaines de compétences qui seront abordés tout au long de la formation sont :

• Informations et données
• Communication et collaboration
• Création de contenu
• Protection et sécurité
• Environnement numérique

La formation se déroule au format hybride avec des séances en présentiel et des séances en ligne sur la plateforme pédagogique de l’université – Elearn

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CM : ce cours examine les processus de façonnement de l'épiderme terrestre, à la croisée (partie I) des forces issues de l'intérieur du globe (création des roches, mouvements tectoniques) et de celles (partie II) présentes à l'extérieur du globe (action des météores, altération, ruissellement, dynamiques fluviales). Une typologie des principaux types de reliefs et de leurs modalités de façonnement au fil du temps constitue la troisième partie.
 Compétences : Face à un paysage courant des campagnes européennes, l'étudiant doit être capable, à l'aide de cartes topographiques et géologiques, d'en décrire et expliquer reliefs et modelés.

TD : apprentissage de l’utilisation combinée des cartes topographiques et des cartes/cartons géologiques. Applications aux principaux types de reliefs observés en France (en lien avec le cours), avec élaboration d’analyses paysagères (relations entre topographie, géologie, géomorphologie et occupation du sol).
 Analyse d’un milieu en sortie terrain (exemple pyrénéen et du piémont), à partir de l'utilisation combinée des divers types de documents étudiés.
 Compétences : être capable de mobiliser les documents/outils appropriés pour procéder à l'identification d'un type de relief, à l’analyse d’un milieu.

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La ville est un objet géographique fondamental dans la mesure où elle marque l’espace de façon durable et remarquable. L’objectif de cet enseignement est d’aborder la structuration de l’espace urbain et son évolution dans l’espace et dans le temps. Il s’agit, d’une part, d’envisager l’organisation de l’espace PAR les villes, en s’intéressant plus particulièrement à la distribution et aux interrelations des villes dans l’espace. Il s'agit, d’autre part, de considérer l’organisation de l’espace DANS les villes, en s’attachant plus particulièrement à comprendre la manière dont l’espace se structure à l’intérieur même d’une ville, de l’analyse des formes et politiques urbaines et leur évolution aux conséquences socio-spatiales qui en résultent. L’association de cours magistraux et de travaux dirigés est l’occasion d’envisager la ville et ses multiples facettes à travers différents supports : statistiques, textes, cartes, vidéos etc.

*Compétences : acquérir et maîtriser les principales notions importantes pour comprendre la ville (métropolisation, centralité, polarisation, réseau, hiérarchie, fonction, urbanité, banlieue, périphérisation, périurbanisation, ségrégation socio-spatiale, fragmentation urbaine, gentrification, résidentialisation, relégation…) à ses différentes échelles, et connaître et savoir (re-)mobiliser différents modèles, théories et méthodes permettant de « lire » la ville.

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• Connaître l'histoire de la gouvernance mondiale du climat et de la biodiversité
• Identifier quatre grands dispositifs de protection de l'environnement
• Maîtriser les enjeux de deux changements globaux (crise climatique et crise de la biodiversité)

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L'idée de cet enseignement est de comprendre le glissement progressif qui s'est opéré en France depuis l'après-guerre d'une politique d'aménagement du territoire vers une politique de développement des territoires.

• Rappel rapide des grands principes qui président à la politique de l'aménagement du territoire d'après-guerre en France et des outils déployés (métropoles d'équilibre, ville nouvelles, DATAR, ...)
• Présentation des principes du développement local et des tensions entre aménagement du territoire et développement local durant la période post-décentralisation
• Analyse du glissement de la politique actuelle d'aménagement du territoire vers une politique de cohésion des territoires. Il s'agit de montrer comment le développement local et ces principes ont été intégrés dans une politique nationale fondée sur une logique de gouvernement à distance et de néo-management des politique publiques

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Enseignement centré sur les mobilités quotidiennes, transformation de l’espace.

En premier lieu la mobilité est présentée en tant qu’objet d’étude des SHS en général et de la géographie en particulier. L’étudiant apprend à différencier mobilité spatiale, mobilité sociale et la motilité.

Le 2ème temps aborde les conditions de transformation des espaces urbains/ ruraux par les mobilités quotidiennes, plus particulièrement dans les sociétés occidentales.

La dernière partie souligne alors les enjeux, outils et alternatives mobilisés par les acteurs dans une perspective de transition.

Dans le cadre du TD, l’étudiant(e) utilise des ressources quantitatives, s’exerce à identifier, et analyser une forme de mobilité spatiale de son choix pour répondre à une APP ; Cette investigation s’accompagne d’une collecte de données qualitatives par entretiens semi-directifs.

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Ce cours vise à prolonger et d’approfondir les notions de statistiques acquises au S2, en étudiant la relation statistique entre deux variables (statistique bivariée). Différents tests y sont présentés en fonction du type et de la nature de la variable : test du Khi 2, ANOVA et test de corrélation et régression linéaire. L’utilisation de Philcarto permet aux étudiants de cartographier et d’analyser les résidus.

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• Décrire et comprendre la répartition spatiale des phénomènes sociaux ou environnementaux et leur évolution au cours du temps
• Identifier et analyser l'organisation de l'espace par les sociétés humaines
• S'appuyer sur un certain nombre de concepts, d'outils, de modèles et de théories (en analyse spatiale)
• Mobiliser les outils mathématiques, statistiques, cartographiques et SIG
• Analyser les formes spatiales (semis de points, graphes et réseaux, surfaces et maillages)
• Analyser les relations spatiales (association, interaction, diffusion)
• Associer analyse spatiale et analyse systémique en géographie
• Intégrer et traiter des données de diverses sources issues des champs de la géographie (physique, humaine, régionale, historique, économique, etc.) et de l'aménagement du territoire
• Réaliser un Modèle Conceptuel de Données (MCD)
• Utiliser le logiciel QGis
• Utiliser les logiciels de traitements statistiques, de cartographie
• Utiliser les logiciels de bureautique

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Cet enseignement a pour objectif d’apporter le minimum de savoirs naturalistes à de futurs étudiants intéressés tant par les questions d’environnement que d’aménagement du territoire. Le premier temps est consacré aux sciences du sol : la pédologie (calcul d'un bilan humique - formes et mouvements de l'eau dans le sol - etc.) / incidences du climat sur le sol et la vie végétale /connaissance de base de la science agronomique (fertilisation, drainage, irrigation, etc.). Le second temps est dédié aux mesures agro-environnementales (haies, intégration paysagère). Et l’ensemble est illustré par différents documents, telles les cartes de pédologie, abordées plus particulièrement durant les séances de TD.

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L’objectif de cette unité d’enseignement est d’appréhender la question des phénomènes touristiques et des aménagements qu’ils induisent à partir des événements festifs dont l’impact territorial possède des propriétés spatiales et temporelles particulières. Les contenus de connaissance sur le tourisme, l’aménagement touristique et la question de la durabilité sont accompagnées d’études de cas (corpus d’articles) analysés par les étudiants dont certains aspects sont restitués en cours individuellement ou collectivement. 

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Ce cours a pour objectif de poursuivre en L2 l’apprentissage des données naturalistes "de base" nécessaires à la compréhension des milieux naturels. Les couvertures végétales appartiennent à la biosphère (soit la partie du globe marquée par la vie), en interaction avec l’atmosphère, l'’hydrosphère (les eaux) et la lithosphère (le substrat). Les structures physionomiques des différents types de groupements végétaux, l’avancée de la désertification ou encore l’extension des friches, constituent autant de thèmes qui relèvent d’une biogéographie se situant au croisement entre nature et société. Aussi mettons-nous particulièrement l’accent sur les guides nécessaires à la compréhension des facteurs d’organisation des formations végétales, à savoir les entrées climatiques, édaphiques, biologiques mais aussi anthropiques.

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L'objectif de cet atelier est de maîtriser la technique d'analyse paysagère dans une approche systémique à partir d'études de cas concrètes. L'étudiant sera capable de décrire le fonctionnement des éléments naturels (climat, végétation, sol, sous-sol, relief, cours d'eau) et anthropiques (activités, occupation du sol, ressources) constitutifs d'un paysage et comprendre leurs interactions. Méthodologiquement, il s'agira, pour l'étudiant, de mobiliser ses connaissances théoriques acquises et de les appliquer à l'échelle paysagère à partir de cartes (topographique, géologique, de la végétation, hydrologique, des risques…) , de photographies et de l'observation  in situ (une sortie terrain organisée).

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Centré sur les questions agricoles et alimentaires ce cours met l’accent sur les défis locaux et globaux de l’agriculture dans les espaces ruraux. Il permet de cerner les enjeux auxquels les pays du Nord comme les pays du Sud sont confrontés et les futurs possibles (déséquilibres entre besoins alimentaires et production agricole, enjeux environnementaux liés à la disponibilité des ressources naturelles, 3ième révolution agricole, sécurité alimentaire, relocalisation de la production/mondialisation des échanges, etc.).

A travers l’étude de cas concrets en Europe, en Amérique du Nord et dans les pays du Sud, les TD permettent aux étudiants d’acquérir un ensemble de connaissances relatives aux espaces agricoles et un ensemble de clés pour comprendre les enjeux contemporains qui s’y jouent.

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S’approprier les éléments clés de l’analyse régionale d’un espace à travers l'exemple de la construction géographique et politique de l’Europe, une Europe à la fois « continent », « territoire organisé » et « partenariat économique et politique » dans l’Union européenne. Parmi les types d’espaces illustrant les dynamiques à l’œuvre, un focus est proposé sur les espaces frontaliers et la coopération transfrontalière aux frontières internes de l’UE.
 L’enseignement est organisé sous la forme d’une classe inversée. Des dossiers documentaires thématiques permettent aux étudiants de se questionner en amont (petits groupes) afin de pouvoir contribuer à l’élaboration collective (promotion entière) d’une culture géographique sur l’Europe. L’évaluation formative se fait sous la forme d’exposés oraux et de compte-rendu rédigés. L’évaluation sommative se fait sous la forme d’un QCM, et d’un commentaire de documents ou d’une dissertation.

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Les transformations contemporaines du monde présentées sous l'angle de la mondialisation/globalisation s'articulent à des différences culturelles multiscalaires. L'approche de ces enjeux par l'intermédiaire de la notion d'aires culturelles (leur individualisation, leur histoire, leurs frontières, leurs échelles, leur place dans la recherche) permettra d'éclairer ces relations complexes qui forgent la coexistence des sociétés et leurs relations géopolitiques. Le cours magistral est pensé comme un cours interactif s'appuyant sur la participation active des étudiants à l'élaboration de son contenu en fonction des textes et documents présentés.  

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• Explorer les jeux de données disponibles et organiser les informations spatiales
• Utiliser les fonctionnalités du logiciel
• Sélectionner les objets géographiques et les consulter dans les tables attributaires
• Créer les objets géographiques 
• Cartographier et représenter les phénomènes géographiques
• Explorer les jeux de données disponibles et organiser les informations spatiales dans le SIG
• Cartographier et représenter les phénomènes géographiques
• Intégrer et traiter des données de diverses sources
• Optimiser l'utilisation de la géomatique dans les domaines d'application de l'environnement et de l'aménagement
• Utiliser le logiciel QGis
• Utiliser les logiciels de traitements statistiques, de cartographie
• Utiliser les logiciels de bureautique

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Ce cours vise à apprendre à rechercher des données statistiques auprès des organismes officiels et à observer la répartition des valeurs d'une variable dans l'espace géographique en traitant et en analysant des séries statistiques univariées sous forme de cartographie. Conçu comme une première étape dans l'analyse spatiale, il rappelle les bases de sémiologie graphique, permet de maîtriser les méthodes de discrétisation ainsi que les étapes de construction d’une carte statistique. Il incite à réfléchir à la fiabilité des données statistiques et aux choix à effectuer pour identifier la représentation la plus pertinente. Pas à pas, les étudiants apprennent à construire et à analyser une carte statistique. 

La réalisation d’un atlas forme les étudiants aux différentes étapes du traitement de l’information spatiale (identification d’un problème, recherche des données, traitement statistique des données, traitement cartographique, analyse cartographique, etc.).

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Être capable de présenter une information à caractère géographique au format de communication « 4 pages » : sur un sujet donné, à partir de documents fournis et en respectant un cahier des charges, l'étudiant apprend à sélectionner, hiérarchiser et reformuler une information pour composer un tout cohérent et synthétique, intégrant texte et illustrations, selon les règles du format dit du 4 pages. Les étudiants travaillent en petits groupes et sont guidés dans la compréhension et la mise en œuvre du cahier des charges. Le livrable est évalué sur le fond (50% de la note finale) et la forme (idem). Le sujet du dossier documentaire est en relation avec l'UE "construction de l'espace européen".

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Pour chacun d’entre nous, l’expérience du monde passe par le paysage, exprimant ainsi le rapport des hommes au monde habité. Ce cours cherche à donner quelques clés permettant de comprendre comment l’idée contemporaine de paysage s’appuie sur ces représentations sociales de la nature. Le paysage n’est alors pas la nature mais sa mutation en objet culturel. C’est par la question contemporaine de la nature en ville, que ce cours revisite l’histoire des jardins, comme forme d’expression d’un rapport à la nature. Dans le cadre d’un projet de groupe, les étudiants s’appuieront sur le contenu palois pour observer comment ces formes de relations à la nature se traduisent et s’inscrivent spatialement dans un contexte urbain.

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Introduction des questions de la géographie du tourisme dans la gestion des espaces sensibles.

Les objectifs sont de :                                                                                                                                                                                                    

• Préciser le(s) sens de la notion d'espace sensible
• Appréhender les enjeux liés à la mise en tourisme des espaces sensibles
• Examiner l'apport du tourisme à la gestion des espaces sensibles

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Ce cours aborde plusieurs thématiques de la géographie de l'environnement vues au travers de la notion d'enjeux environnementaux. Ces derniers sont décrits et étudiés selon diverses approches : cartographique (utilisation des cartes topographiques au 1 : 25 000), thématiques (nuisances sonores et lumineuses), polémogéographie (étude spatialisée des conflits), géopolitique...

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• Identification des principaux acteurs intervenant dans le domaine de l'aménagement et de l'évolution de leurs rôles respectifs
• Présentation de l'action de l'État et de ses relais territoriaux en matière d'aménagement du territoire
• Présentation de l'action des différents niveaux de collectivités territoriales en matière d'aménagement du territoire, dans un contexte de décentralisation accrue et de renforcement de l'échelon intercommunal à l'issue des dernières lois de réforme territoriale (révision du maillage des intercommunalités et de leurs compétences)

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Ce cours-atelier a pour objectif l'étude approfondie en géographie culturelle des relations entre société, culture et aménagement. Le travail portera en particulier sur des lieux qualifiés de patrimoines, en tant qu'héritages culturels, porteurs de valeurs collectives. Il s'agit de comprendre comment on qualifie un lieu de patrimoine et quelles en sont les conséquences sur l'espace à travers deux sorties-terrains et différentes connaissances vues en cours. La notion de « patrimoine » sera abordée par ses dimensions culturelles (mémoire, identité…) et ses dimensions pratiques (outils et politiques de protection et de mise en valeur) en la reliant à d'autres notions : valeurs, espace public, développement durable. Méthodologiquement, les étudiants devront conduire en groupe un travail d'observation in situ à partir de sorties-terrain tout en élaborant collectivement une problématique, adaptée au terrain.

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Ce cours a pour objectif de consolider les connaissances et la culture géographique des étudiants à travers une approche notionnelle et historique de la discipline. Le cours est organisé selon deux entrées. La première entrée développe une mise en perspective de certaines notions qui ont acquis une charge conceptuelle forte au sein de la discipline et un rôle intégrateur dans la pensée géographique : milieu, environnement, espace, territoire, lieu, paysage, spatialité. L’enjeu n’est pas tant de fixer des définitions discrètes que d’envisager le fonctionnement articulé et relationnel de ces notions, à travers leur emploi et leur évolution. La deuxième entrée valorise une approche par les auteurs et les textes pour saisir à la fois leur inscription dans l’histoire de la discipline et la singularité irréductible de leur pensée.

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Comprendre de quelles manières le développement local peut offrir une méthode opératoire pour concevoir et mettre en œuvre une politique spécifique de transition socio-écologique.  Pédagogiquement, le cours s’organise sur la base d’un projet qui permet à chaque étudiant d’appliquer les principes du cours sur un domaine de son choix (territoire intelligent, urbanisme tactique, transitions énergétiques, loisirs, sports…).

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Ce cours a pour objectif d’interroger les catégories spatiales de la ruralité, dans un contexte de profondes mutations de nos campagnes françaises. En abordant la notion de ruralité au pluriel et en observant les nouvelles formes de complémentarité entre villes et campagnes, cet enseignement souhaite mettre en avant les enjeux que représente l’espace rural aujourd’hui pour notre société dans son ensemble. La problématique agricole sera plus particulièrement abordée au travers de la territorialisation des politiques publiques et du développement de « projets alimentaires territoriaux ». Cours Magistral et Travaux Dirigés seront alors étroitement liés pour amener les étudiants à expérimenter la notion de ruralité. Un exercice sur un territoire donné permettra aux étudiants de manipuler une grande diversité d’indicateurs de mesure de cette ruralité et de s’initier à la démarche prospective.

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Ce cours examine comment le rapport des sociétés aux milieux fournissant des ressources se transforme à mesure que la densité des hommes et le niveau de leur technologie évoluent. Considérant que ce couple société/milieu fait système, il examine pour les Pyrénées son évolution dans le temps long. Dans les Andes, la comparaison de différents milieux intertropicaux et de sociétés d'origine précolombiennes ou hispaniques permet d'affiner la compréhension des mécanismes en jeu.

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Ses fonctions et les enjeux n’ont cessé d’évoluer au cours du temps, des usages agro-sylvo--pastorales passés aux nouveaux enjeux économiques (production de biomasse, biochimie, bois énergie, etc.), naturalistes (écocertification des bois, capture du CO2, biodiversité, ...) et sociaux (sylvothérapie, aménités forestières, etc.). Désormais, en ce début du XXIe siècle, la forêt est l’objet de nouveaux textes relevant du grand domaine de l’aménagement du territoire (Chartes Forestières de Territoire, contrat de filière Bois, Programme national de la forêt et du bois, etc.). Aussi, pour sensibiliser les étudiants à ce domaine jusque-là peu abordé les années précédentes dans le cadre de la licence, cet enseignement combinera-t-il des cours en présentiel (en salle) couplés à deux sortie dites de terrain : une première sur le campus palois (vocabulaire « de base » propre à description des arbres et des peuplements, et sensibilisation à  la reconnaissance de quelques « grandes » essences forestières, etc.)  ; et une seconde,  plus lointaine, entre nord-Béarn et Landes de Gascogne.

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Cet enseignement a pour objectif de présenter les grandes dynamiques de la mondialisation et ses conséquences sur les territoires à différentes échelles à travers l’étude des interactions entre local et global et l’analyse du jeu des acteurs. La mondialisation, en tant que processus producteur d’inégalités dans le cadre d’une valorisation différenciée et sélective des territoires, constitue une clé d’analyse pour comprendre le monde contemporain.

Cet enseignement vise à permettre aux étudiants de s’approprier l’outillage critique pour analyser et comprendre le processus de mondialisation avec recul et indépendance d’esprit. La démarche critique est favorisée afin de prendre la mesure des rapports de domination et d’interdépendance, notamment en analysant les lieux emblématiques et la matérialité de la mondialisation.

Cet enseignement est aussi l’occasion de mettre à jour des savoirs sur une notion devenue centrale dans les programmes de géographie. Sa maîtrise par les candidats aux concours d’enseignement est indispensable.

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Cette UE vise à rassembler l'ensemble des compétences acquises en licence à travers un exercice de "portrait de territoire" qui préfigure le diagnostic de territoire abordé en master 1. Ainsi, par groupe de 2, dans le cadre d'une commune choisie par les étudiants, ils vont devoir aborder les groupes thématiques essentiels pour comprendre l'espace : paysage et habitat, démographie et économie, structuration politique de l'espace.

Pour ce faire, ils vont devoir récupérer et synthétiser l'ensemble des données dont ils connaissent l'existence à travers les enseignements dispensés durant la licence. Ils vont devoir mettre en application leurs compétences statistiques, cartographiques, manier les échelles, ...

A partir d'un dossier préparatoire qui présentera les trois ensembles thématiques, ils devront réaliser une plaquette de sensibilisation aux enjeux de la commune à destination d'un public spécifique de leur choix (élus, habitants etc.).

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L’enquête est une démarche largement utilisée dans le champ des sciences humaines et sociales. Partant du constat que la seule connaissance des bases théoriques et méthodologiques ne suffit pas à donner à l’étudiant(e) la capacité d’autonomie dans la réalisation d’une enquête, ce cours propose de le (la) confronter à la réalité du travail de terrain autour d’un projet collectif, issu d’une commande réelle, permettant à chacun(e) de s’investir dans une enquête de A jusqu’à Z. Le plan du cours suit le déroulement d’une enquête en sciences humaines autour de quatre temps forts : préparer, collecter et traiter l’information puis communiquer les résultats. Cet enseignement portera plus spécifiquement sur la technique de l’enquête par questionnaire avec un double objectif :

• Permettre l’acquisition des savoir-faire de base pour la mise en œuvre d’une démarche d’enquête par questionnaire
• Fournir à chacun(e) la capacité d’évaluer la crédibilité des enquêtes contemporaines

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A partir des thématiques telles que la mobilité durable, l'urbanisme durable, la transition énergétique, cet enseignement vise à identifier le positionnement de la géographie dans l'analyse de la durabilité. Une partie du cours est aussi consacrée à la présentation du cadre d'émergence des problématiques de l'éducation à l'environnement et au développement durable.

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Cet enseignement vise à mobiliser les acquis de la licence pour les mettre en relation autour de la problématique des découpages de l'espace. Si une partie des cours est dédiée à de la géopolitique internationale autour de la notion de frontière, l'essentiel questionne la problématique du territoire et de la territorialisation en géographie. Les Travaux dirigés sont spécifiquement dédiés à la mobilisation de documents et à leur présentation orale en vue de réaliser une synthèse.

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Cet EC sert d'appui à la préparation d'exposés thématiques réalisés dans le cadre d'un voyage d'étude d'une semaine organisé pour toute la promotion L3 dans une métropole en France ou à l'étranger.

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Cet enseignement associant cours et TD portera sur la géographie des risques et des catastrophes d’origine naturelle, de l'échelle planétaire à l'échelle locale. Il s’agira de comprendre le fonctionnement de ces phénomènes à travers les notions de risque, de catastrophe, d’aléas et de vulnérabilité. L'étudiant sera capable d’analyser les mécanismes naturels, les facteurs de vulnérabilité d'un territoire dans divers contextes géographiques et les conséquences spatiales et sociales des différents risques d’origine naturelle tels que mouvements de terrain, séismes ou inondations. Concrètement, l’étudiant saura décrire et expliquer un événement catastrophique en exploitant tout type de document : textes, photographies, cartes et graphiques à différentes échelles.

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• À partir d’une étude de cas précise (un aménagement hydraulique, un périmètre de protection de la ressource en eau, etc.), parvenir à identifier les principaux enjeux politiques, sociaux et environnementaux de gestion de la ressource

• Identifier les acteurs en charge de la gestion de l'aménagement hydraulique, de la rivière, ou du périmètre de gestion de l'eau

• Comprendre le cadre réglementaire dans lequel s'inscrivent les actions menées par les acteurs en charge de la gestion de la rivière et/ou de l'aménagement

• Collecter des données statistiques sur le territoire d'étude et les traduire en cartes et graphiques

• Appréhender le rapport des principaux acteurs à l'eau et aux milieux aquatiques à travers la construction d'une grille d'entretien et son administration à un nombre réduit d'acteurs (2 à 4) choisis avec la responsable d'EC

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Cet atelier a pour objectif de mobiliser les connaissances acquises durant le cursus de Licence afin de questionner les grands principes de la ville durable. Les cours magistraux sont l’occasion de poser les fondements d’une construction « théorique » de ce qu’est ou ce que doit d'être une ville durable en considérant plus particulièrement les dimensions constitutives de la transition environnementale des espaces urbains, de proposer un regard critique sur les modèles, politiques et bonnes pratiques qui sont aujourd’hui mises en place dans une perspective de développement urbain durable, et de les interroger au regard d’exemples choisis à la fois au niveau national et international. Intégrée au "projet pédagogique" du S6 constitué notamment d'un voyage d'étude dans une grande ville (en France ou à l'étranger), la partie "mise en pratique" de l'atelier est l’occasion d’éprouver ces fondements à travers une étude de cas portant sur une ville spécifique. Recherche de données à distance et travail de terrain (via le voyage d'étude) doivent permettre d’alimenter une réflexion collective sur la capacité d’une ville à être ou devenir « durable » et d’éprouver les politiques de développement urbain mises en œuvre au regard des principales problématiques constitutives de la transition (renouvellement urbain, densité, mobilité, mixité, nature en ville, etc.).

Compétences : être capable de mobiliser les grands modèles théoriques de la géographie urbaine et de l’urbanisme acquis au cours du cursus et les éprouver au regard de la transition des espaces urbains, connaître les enjeux d’un développement urbain durable, utiliser des modèles pour analyser un cas pratique, s’aguerrir au décryptage des politiques et bonnes pratiques mises en œuvre dans une perspective de transition et de durabilité, parfaire son esprit critique, travailler en groupe, restituer un travail sous des formes diversifiées.

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L'idée de cet enseignement est de mettre en relation les acquis de la géographie urbaine avec les attendus de l'urbanisme. Il s'agira de présenter l'urbanisme en tant que science pour positionner les cadres théoriques de l'urbanisme fonctionnaliste, culturaliste et les courant plus contemporains (bigness,...). Cette grille de lecture sera complétée par un regard différentié en fonction de la taille des villes et de la distance au centre pour mettre en évidence le traitement différentié des espaces notamment périphérique en matière de pensée urbanistique.

Cet enseignement se nourrit du projet pédagogique de L3. La ville choisie constitue le terrain d'application des grilles de lectures proposées et les exposés in situ de sujets préparés en TD en représentant l'aboutissement et l'évaluation.

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Cet enseignement a pour objectif de conforter les connaissances des étudiants sur la géographie générale de la France, dans un cadre européen et mondial. La réflexion articule l’identification des lignes de force du territoire national et les dynamiques qui traversent et façonnent les territoires métropolitains et ultramarins, les acteurs qui sont à l’œuvre dans les territoires et les enjeux auxquels ils sont confrontés. Il s’agit d’aboutir à une compréhension de l’organisation territoriale, dans toutes ses dimensions, institutionnelles, économiques, sociales, culturelles, mais aussi physiques, environnementales et paysagères.

Ce cadre apparemment familier permet d’approfondir le questionnement sur les interactions spatiales, la construction des paysages, le croisement des échelles de temps long et court, l’analyse morphologique des espaces urbains et des espaces ruraux, l’analyse des disparités spatiales et des inégalités sociales à différentes échelles ainsi que le rôle des différentes politiques d’aménagement qui se sont succédées.

Cet enseignement est aussi l’occasion de mettre à jour des savoirs sur la géographie générale de la France, sur des sujets qui doivent être maîtrisés pour être enseignés en cycles 3 et 4 comme dans les lycées, en mettant en œuvre des raisonnements géographiques variés.

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Cet enseignement a pour objectif de présenter les concours de la fonction publique territoriale accessibles à des géographes issus d'une formation universitaire. Il ne s'agit pas d'une préparation au concours mais plutôt d'une présentation des compétences requises et de la révélation des compétences acquises jusque-là au sein de la formation. L'exercice de la note de synthèse sera plus particulièrement présenté.

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Cet enseignement se structure autour de plusieurs axes :

• Une maîtrise de savoirs, de méthodes et d’outils géographiques tels que la cartographie, les systèmes d’information géographique et le diagnostic de territoire
• Une utilisation plus approfondie des outils de géotraitement pour l'analyse spatiale
• Une acquisition de la méthodologie de projet en SIG

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Cet enseignement est organisé sous la forme d'un atelier associant des parties cours et TD. Il permettra aux étudiants de découvrir des usages professionnels et citoyens (sciences participatives) de leurs téléphones portables à partir de l'expérimentation des capacités de ces appareils à fournir et traiter des données de géolocalisation ou à devenir des capteurs de données environnementales (biodiversité, nuisances sonores, pollution atmosphérique). Il a ainsi pour objectif d'explorer les convergences récentes et croissantes entre les technologies de l'information et de la communication (TIC) et les technologies de l'information géographique (TIG) et/ou environnementale (TIE).

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Cet enseignement a pour objectif d'amener les étudiants à construire un argumentaire scientifique « visuel » à travers la réalisation d’un poster. Parvenu(e) en fin de cycle, l'étudiant(e), à travers cet enseignement, doit témoigner de sa capacité à synthétiser documents et données, préalablement recueillis et analysées dans le cadre d'autres enseignements, afin de construire un argumentaire structuré répondant à un questionnement problématisé et en rendre compte visuellement, via la réalisation d'un poster scientifique, à destination d'un public varié.

Compétences : acquérir la maîtrise des outils techniques permettant la réalisation graphique d’un poster scientifique (logiciel de dessin assisté par ordinateur), témoigner de capacités de synthèse de documents et données préalablement recueillies, être capable de construire un argumentaire structuré répondant à un questionnement problématisé et à en rendre compte visuellement.

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Cet enseignement a pour objectif d’initier les étudiants au vocabulaire et aux méthodes de la production audiovisuelle. Dans le cadre de cet atelier, les étudiants réalisent par groupe de 2, un court-métrage de type « film de recherche » de 5 minutes environ sur une thématique géographique. Ils sont initiés aux différentes étapes de la réalisation d’un film : l’écriture, le tournage, le montage.
 La production filmique propose au géographe une méthode alternative à l’écrit pour tenter d’observer et d’expliquer le monde. Une attention spécifique est portée à la construction d’une trame narrative spécifique aux images et aux sons.
 La maîtrise de l’audiovisuel constitue un atout important pour l’enrichissement du discours géographique, qui est aujourd’hui très utilisé dans de nombreux champs professionnels.

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Cet enseignement a pour objectif d’initier les étudiants au vocabulaire et aux méthodes de la production audiovisuelle. Dans le cadre de cet atelier, les étudiants réalisent par groupe de 2, un court-métrage de type « film de recherche » de 5 minutes environ sur une thématique géographique. Ils sont initiés aux différentes étapes de la réalisation d’un film : l’écriture, le tournage, le montage.
 La production filmique propose au géographe une méthode alternative à l’écrit pour tenter d’observer et d’expliquer le monde. Une attention spécifique est portée à la construction d’une trame narrative spécifique aux images et aux sons.
 La maîtrise de l’audiovisuel constitue un atout important pour l’enrichissement du discours géographique, qui est aujourd’hui très utilisé dans de nombreux champs professionnels.

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Cet enseignement a pour objectif de présenter les concours de la fonction publique territoriale accessibles à des géographes issus d'une formation universitaire. Il ne s'agit pas d'une préparation au concours mais plutôt d'une présentation des compétences requises et de la révélation des compétences acquises jusque-là au sein de la formation. L'exercice de la note de synthèse sera plus particulièrement présenté.

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Cet enseignement a pour objectif d'amener les étudiants à construire un argumentaire scientifique « visuel » à travers la réalisation d’un poster. Parvenu(e) en fin de cycle, l'étudiant(e), à travers cet enseignement, doit témoigner de sa capacité à synthétiser documents et données, préalablement recueillis et analysées dans le cadre d'autres enseignements, afin de construire un argumentaire structuré répondant à un questionnement problématisé et en rendre compte visuellement, via la réalisation d'un poster scientifique, à destination d'un public varié.

Compétences : acquérir la maîtrise des outils techniques permettant la réalisation graphique d’un poster scientifique (logiciel de dessin assisté par ordinateur), témoigner de capacités de synthèse de documents et données préalablement recueillies, être capable de construire un argumentaire structuré répondant à un questionnement problématisé et à en rendre compte visuellement.

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Cet enseignement est organisé sous la forme d'un atelier associant des parties cours et TD. Il permettra aux étudiants de découvrir des usages professionnels et citoyens (sciences participatives) de leurs téléphones portables à partir de l'expérimentation des capacités de ces appareils à fournir et traiter des données de géolocalisation ou à devenir des capteurs de données environnementales (biodiversité, nuisances sonores, pollution atmosphérique). Il a ainsi pour objectif d'explorer les convergences récentes et croissantes entre les technologies de l'information et de la communication (TIC) et les technologies de l'information géographique (TIG) et/ou environnementale (TIE).

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